Mensurations | D mm | H/D | E/D | O/D | H/E |
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CP-707 | 76,8 | 0,48 | 0,48 | 0,24 | 1,00 |
RJ-565 | 91,1 | 0,45 | 0,49 | 0,25 | 0,92 |
CP-257 | 139,5 | 0,45 | 0,44 | 0,28 | 1,02 |
Age | Origine |
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Lit B, Z. à benettianus S.z. à lyelli, Albien moyen |
Courcelles Aube, France |
Variant | dentatus | spathi | paronai |
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H/E | 1,21-1,27 | 0,92-1,02 | 0,67-0,83 |
E/D | 0,37-0,40 | 0,49 | 0,52-0,70 |
Description et remarques. Lire d'abord la fiche de Hoplites (Hoplites) dentatus. Ce beau spécimen très bien dégagé a la conservation typique de Courcelles. Dans le tableau inférieur, il correspond au variant spathi de H. dentatus, vu son sillon large et droit ainsi que sa section aussi haute que large. Comparé à CP-257 et RJ-565, il a des hauts de flancs plus arrondis et un mur ombilical à bord plus large, d'où une section moins hexagonale, plutôt elliptique. Son ornementation est aussi plus serrée : on dénombre en tout 16 tubercules ombilicaux et 38 côtes sur le dernier tour. Selon Amédro (1992), c'est cette variabilité, avec tous les intermédiaires possibles, qui justifie de ramener les espèces de Spath H. paronai et H. spathi au rang de simples variants de H. dentatus, qui a l'antériorité. L'ammonite a été extraite d'un nodule calcaire du lit B, qui indique la fin de la zone à benettianus. Ce lit contient déjà des H. dentatus, mais ils sont minoritaires. En effet, dans la zonation phylétique d'Amédro (1992), la zone à dentatus est une zone d'extension partielle (partial range zone), dont le début correspond à la disparition de H. benettianus.